Les compétences algériennes à l’étranger Entre tabous et fausses promesses

Par Abdelkader Djeflat

Maghtech/Axe TEDD/Labo. Clerse/université de Lille-I, CREAD (Alger-Oran)

Résumé

La migration des personnes hautement qualifiées en Algérie est souvent perçue comme une fuite des cerveaux. L’État algérien ne s’est toujours pas doté d’outils pour encadrer les migrants à forte valeur ajoutée. Comme si, une fois partis à l’étranger, les hauts potentiels ne pouvaient plus participer d’une manière ou d’une autre au développement de leur pays d’origine. Désormais, il importe de penser ces mobilités non plus en termes de stock de compétences mais selon une logique de circulation des savoirs.

Plan

  • Flux migratoires et politiques publiques en Algérie et au Maghreb
  • Les limites d’une lecture strictement économique
  • Les tabous et les lourdeurs
  • L’opposition des compétences
  • Les nouveaux paradigmes de l’économie du savoir
  • La dématérialisation des tâches
  • Remobiliser les CNE : quelques pistes de réflexion pour le brain gain
  • Le réexamen des notions de retour et de mobilité

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Abdelkader Djeflat, « Les compétences algériennes à l’étranger », Hommes et migrations [En ligne], 1300 | 2012, mis en ligne le 31 décembre 2014, consulté le 28 décembre 2016. URL : http://hommesmigrations.revues.org/917 ; DOI : 10.4000/hommesmigrations.917

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